Des photos des aventures de Balum : des ronds dans l'eau avant le Triangle des Bermudes

	Voilà où nous allons passer une semaine avec les tahitiennes : une très bonne adresse, entre Pigeon et Bouillante, sur la côte caraïbe de la Guadeloupe.
	Notre maison, et juste au dessus, notre piscine, à moitié couverte par un grand auvent. Autour, des bougainvillées, des palmiers, la nature tropicale.
	Nous allons vivre sur la terrasse, même si l'intérieur de la maison est très agréable.
	Vue de la terrasse : au dessus des fleurs, l'îlet Pigeon, autour duquel il y a la réserve sous-marine Cousteau.
	Claude CC fait le ménage, même si ça n'a pas vraiment été notre première préoccupation pendant une semaine !
	Claude L. oublie peu à peu l'hiver cévenol et retrouve des sensations tahitiennes.
	Anne profite de la terrasse. Visiblement je la dérange avec mon appareil photo !
	Nous allons faire beaucoup de balades-nature, dans des forêts profondes remplies d'arbres magnifiques comme ce fromager.
	Ce fromager-là est sur une aire de repos au bord de la route qui mène aux chutes du Carbet.
	Des arbres du voyageur.
	Savez-vous qu'on trouve (trouvait) des perroquets dans beaucoup d'îles des Antilles ? Il y en a même un sur le drapeau de la Dominique.
	Nous posons au pied d'un palmier royal double dans le jardin botanique créé dans l'ancienne propriété de Coluche à Deshaies.
	La forêt tropicale, la rain forest : cette année il pleut beaucoup, ça a au moins un avantage, la végétation est superbe.
	Nous allons visiter la Maison du Cacao : nous allons tout savoir, des cabosses au chocolat.
	Tout ça n'a pas l'air très sérieux !
	Un champ de cannes à sucre, non loin de Basse Terre.
	Je suis en train de tordre une canne, et à mon grand étonnement, il en sort un jus sucré fluide comme de l'eau.
	Nous visitons la distillerie du rhum Bologne. C'est l'époque de la récolte : les tracteurs apportent la canne directement des champs à côté.
	Tout ça est broyé, malaxé, fermenté. D'un côté il reste la bagasse, et de l'autre on met le rhum en bouteilles !
	On va explorer les marchés, les petits vendeurs de fruits, et nous allons manger des papayes, des mangues, des ananas-bouteilles, des bananes-pommes, et puis nous parfumerons nos ti-punchs au citron vert !
	Grande sortie sur Balum : nous allons parcourir au moins 50m pour changer d'emplacement dans la marina de Rivière Sens !
	Tiens, des mollets...
	Un nègre marron, c'était un esclave évadé ; il y a eu des groupes de "marrons", avant l'abolition, qui se cachaient dans la montagne et faisaient de temps en temps des razzias dans les plantations.
	Nous sommes montés vers le volcan de la Soufrière : pluie, brouillard, et quelques vapeurs de soufre.
	Petite halte sur le chemin du Fort Napoléon, au dessus de la baie des Saintes.
	Ce bel iguane prend la pose.
	Et le soir, de retour à notre logis, nous nous délassons dans notre superbe piscine, en admirant au loin l'îlet Pigeon.
	Claude L. admire le coucher du soleil sur la Mer Caraïbe en prenant un dernier bain.
	J'accueille René à bord de Balum avec un ti punch, of course ! A droite de René, observez les oeuvres d'art qui décorent le carré. Et il y en a d'autres !
	Montserrat, l'île maudite qui est peu à peu dévorée par son volcan. Ce jour-là, le volcan fumait fort, mais ne crachait pas de lave. Il est interdit de s'approcher à moins de 2 milles de la côte. Je ne vais même pas essayer !
	"Bienvenue en partie française Welcome to St Martin" Si vous regardez bien, il y a 2 drapeaux bleu-blanc-rouge, mais l'un à bandes horizontales, l'autre à bandes verticales : la Hollande et la France !
	Je m'amuse à photographier les plaques : je me souviens qu'au Québec, l'inscription était "La belle province" !
	St Martin, un territoire où flotte le drapeau français et où les serveurs au bistrot ne parlent qu'anglais !
	Balum est dans la marina de Marigot, à St Martin. Pas grand monde, mais quand même... Mon voisin de derrière n'est pas un bateau de guerre, non, c'est un yacht privé... C'est bien, il me protège du vent !
	Coucher de soleil à St Martin. Bientôt je vais partir de ce côté là, vers les Iles Vierges Britanniques.
	J'ai jeté l'ancre dans 1m50 d'eau à Virgin Gorda, tout près de la barrière de corail. Balum a un petit tirant d'eau, je vais là où les autres ne vont pas !
	Soirée paisible dans les Iles Vierges Britanniques.
	Un mouillage de rêve sur Peter Island : l'ancre est dans le sable, mais l'arrière de Balum est venu au dessus des patates de corail : il y a 4 mètres d'eau, un vrai aquarium grandeur nature !
	Encore un coucher de soleil sur Iles Vierges Britanniques. Je crois que je vais devenir contemplatif...
	Les autobus de Tortola, aux BVI, ont de la gueule ! Et ils sont tous différents.
	Un autre genre, plus classique.
	En voilà un qui me plaît, avec une orque peinte sur son flanc !
	Photo garantie non retouchée, non colorisée ! On est aux BVI, mais j'aurais pu faire la même photo dans beaucoup d'endroits des Antilles.
	Certaines îles hautes des Antilles sont très verdoyantes, mais les petites îles n'accrochent pas les nuages, et le climat est assez sec. C'est le cas des BVI, et on y trouve beaucoup de cactus en tous genres.
	Encore une plaque d'immatriculation originale.
	Voici Balum installé dans la "Village Cay Marina", à Tortola. Pas un bateau français, des voiliers américains et des grosses vedettes portoricaines.
	Je suis parti vers l'ouest, et me voici en République Dominicaine, St Domingue. La baie de Samana est sous la pluie, les eaux sont boueuses. On se croirait en automne.
	Les taxis : une moto 125cc, et le client - ou la cliente - monte derrière !
	Voilà une motoconcho de luxe.
	Pauvre chauffeur, les jours de pluie, comme ces jours-ci...
	Je retrouve André et Joanne, les 2 québécois de Katak, au cybercafé de Samana.
	A St Domingue comme partout aux Antilles, il y a des combats de coq. Pauvres bêtes...
	Je vais rester perplexe devant cette terrasse, et j'en verrai beaucoup d'autres du même genre. ça donne une idée du niveau de sécurité ici, à St Domingue...
	En route vers les Bermudes, je vais observer beaucoup de ces petites bêtes marines à voile : sous l'eau des tentacules de 20 à 40 cm de long, au-dessus un demi-disque en forme de coquille St Jacques gonflé d'air de 20 cm de diamètre. Si quelqu'un sait ce que c'est...
	Un autre monde... Eh oui, j'ai traversé le Triangle des Bermudes...
	St Georges, aux Bermudes : tout est propre, soigné, on se croirait dans un décor de cinéma.
	Beaucoup de belles constructions aux Bermudes ; celle-ci m'a rappelé la chapelle de Languidou, dans le pays Bigouden...
	Mais les bermudiens ont manqué d'imagination pour nommer cette belle ruine !
	Tout est paisible aux Bermudes, et ce n'est pas cette dame qui me contredira.
	Je me balade, à Hamilton, la capitale des Bermudes : belles maisons, beaux jardins publics.
	Non, ce n'est pas une horloge, c'est une girouette !
	Non, ce n'est pas une horloge, c'est un indicateur de hauteur de marée !
	Dans mon dictionnaire, "to loiter" veut dire "flâner, s'attarder".
	Toutesles maisons aux Bermudes ont des toits comme ceux-ci : une charpente en bois, des planches posées "à clins", se chevauchant en escalier, le tout est cimenté et peint en blanc.
	Les gouttières sont des bourrelets de béton en pente, et l'eau de pluie est dirigée vers une citerne placée sous la maison. Pas de rivière ici, l'eau douce vient du ciel.
	Vanikoro vient me saluer, avant de quitter les Bermudes.
	Sylvie, Camille et Quentin sont prêts pour la grande traversée, le skipper est à la barre. Je vais bientôt les suivre vers les Açores. Bon vent !

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