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Des photos des aventures de BALUM : |
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Bonheurs et misères d'une transat |
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Des photos des aventures de BALUM : |
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Bonheurs et misères d'une transat |
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Ah vraiment, les Bermudes sont un vrai bonheur pour les yeux, et je me régale. |
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Avec Jacques de Saudade, on va se balader au bout des Bermudes en utilisant les ferries locaux. |
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Le dockyard, c'est l'ancien chantier naval militaire de la marine anglaise ; c'est devenu un coin très aménagé pour le tourisme : marina, musée, galeries marchandes, etc. |
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Les Bermudes, c'est ça : des petits plans d'eau très protégés, des maisons les pieds dans l'eau, une atmosphère paisible. |
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Aux Bermudes, on porte des bermudas ! Avec chaussures cirées, chaussettes montantes et cravate, of course ! |
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Ah l'eau bleue des Bermudes... |
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Des petits écoliers en promenade ; comme partout dans les îles, ils sont en uniforme. |
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Avec Saudade, on se prépare à partir pour les Açores : 1700 milles, on quitte vraiment les zones tropicales, on remonte vers le nord et les zones tempérées. |
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Il faut reprendre le rythme des grandes traversées : la veille des cargos... |
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...La contemplation de la mer, des couchers de soleil ! Les jours rallongent, et du coup les nuits raccourcissent ! Les nuits en mer sont toujours un peu inquiétantes... |
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Pendant 19 jours, Balum va subir des alternances de calmasse et de mer forte, trop forte. Tous mes pilotes automatiques vont tomber en panne ! |
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Un instrument vraiment utile, le baromètre : il va dégringoler de 1033 à 1016, et je vais passer des heures à guetter le début de sa remontée, signe de la fin du passage de la dépression. |
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Les dauphins sont là, et de plus en plus souvent en approchant des Açores. |
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Première vision des Açores : au matin, j'aperçois derrière les nuages le sommet du volcan de Pico. Si si, regardez bien ! J'arrive dans la marina de Horta, sur l'île de Faial. |
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Tout marin arrivant aux Açores se doit d'aller boire un coup au Café Sport, chez Peter, et la première bière est gratuite ! |
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Avec Thierry de Pikouissimo, chez Peter. Ambiance très "pub", des messages de recherche d'équipiers, des photos, des "scrimshaws" (dents de baleines gravées) et puis d'innombrables fanions de bateaux qui sont passés ici depuis 50 ans. |
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Les quais de Horta sont couverts des peintures de chaque voilier faisant escale ici après un tour de l'Atlantique ou un tour du monde. Il est difficile de trouver un bout de béton libre, alors peu à peu les vieilles peintures presque effacées sont recouvertes par des nouvelles. |
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Il y a des peintures classiques. |
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Des peintures plus sentimentales : "happy to be here, sad to leave..." |
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des oeuvres très construites. |
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des navigateurs récidivistes : 1984, 1987, 2003 ! Certains annoncent leur 20ème traversée... |
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Certains reviennent d'Amérique du Sud, d'autres de l'Antartique, d'Australie... |
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Certains ont eu des mers pas toujours faciles. |
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Certains ont un sacré coup de pinceau ! |
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Balum l'a échappé belle ! |
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Une peinture toute simple et très plaisante. |
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Encore un qui n'a pas toujours rigolé pour arriver ici. |
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Des bateaux de tous les pays du monde. |
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des navigateurs artistes. |
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Jacques a fait son oeuvre aussi pour Saudade : à gauche, le pavillon des Frères de la Côte, à droite Jean Bart le dunkerquois, et en haut l'étoile "gamin" pour son fils. |
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Et Balum a laissé sa trace, lui aussi ; il avait commencé à Porto Santo, au début du voyage, la boucle est (presque) bouclée, le retour à Morgat est dans quelques semaines, si tout va bien ! |
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Balum et son captain se reposent dans la marina de Horta. Dans quelques jours nous partirons saluer les baleines entre les îles des Açores. C'est la bonne période, elles sont là ! |
