Des photos des aventures de BALUM :
Des métros dans les mers du sud

Les aventures de Balum  - Sommaire

Les photos des aventures de Balum

 

Balum sort de l'eau pour faire sa toilette, il en a bien besoin, il doit être impeccable pour le trajet retour !

Repeint, révisé, il peut retourner à l'eau et recevoir les amis qui arrivent.

Anne-Marie est venue à bord de Balum avec sa famille pour boire un ti-punch, bien sûr !

Lors d'une virée au Cap Macré, une averse nous a surpris, on a été trempé jusqu'aux os, la grand mère était inquiète pour sa petite fille, et Eva se demande ce qui se passe !

Les amis parisiens sont arrivés : on part vers les plages, et on admire au travers des cocotiers le rocher du Diamant.

Sur la plage de Ste Anne, on assiste à une régate de "gommiers", ces voiliers traditionnels aux immenses voiles carrées.

Mais surtout on va se baigner ! Corinne sort, Tifanny y retourne.

Et l'eau est à 27°... Dans la vague, Claudine a l'air terrifiée !

Nougat allait prendre la photo quand un colibri arrive sur l'arbre.

Appréciez la vue qu'on a depuis notre table : pas mal !

J'ai parlé à Claudine d'une spécialité locale, le "féroce d'avocat"...

Tout le monde surveille, Lucas n'a pas l'air convaincu... Mais on va manger de très bonnes choses dans ce restaurant.

Promenade dans la mangrove, au milieu des crabes.

Dans notre villa, il  y a plein de plantes tropicales, et les petites bêtes qui vont avec, et même des colibris.

Une plantation de cristophines.

Promenade sous les fougères arborescentes et les bambous géants.

Les jeunes mariés, Corinne et Nougat, prennent la pose.

Non, les ananas ne poussent pas dans les arbres, ça pousse comme les artichauts.

Charlie évalue l'âge de ce caoutchouc : non, pas 300 ans, 32 ans !

Dans les bananeraies, on voit ces sacs bleus partout : ces sacs en plastique sont mis sur les régimes de bananes pour les protéger des insectes. On cueille le régime déjà dans l'emballage.

La Montagne Pelée sous la brume.

Nous partons vers Fort de France avec le bateau navette qui part des Trois Ilets.

Le captain de Balum n'est pas sur son bateau, il se fait une raison.

Claudine respire le grand air.

On visite le marché : cristophines,  taros, ignames, fruits de l'arbre à pain, bananes-légumes...

Je m'achète un très beau chapeau avec les conseils avisés de Nougat et Claudine.

La cathédrale de Fort de France : ce n'est pas Chartres, surtout le cocotier.

La Bibliothèque Schoelcher, en pur style, euh...

Schoelcher, c'est le ministre français qui a signé l'abrogation de l'esclavage.

"Esklavaj crim kont limanité" : c'est pas difficile de comprendre le créole.

Tifanny et Lucas commencent un barrage contre la marée montante...

Mais on a oublié de leur dire qu'ici il n'y a presque pas de marée.

Nous partons tous les 8 sur Balum vers la plage des Salines. Corinne barre, mais le captain veille !

baignade autour du bateau.

On change de plage.

Pique-nique. Lucas boit sous les yeux de son père Charlie, indifférent. Heureusement le captain du bateau fait les gros yeux.

Après une journée baignade et soleil, on rentre au Marin.

On longe un drôle de cargo : c'est un dock flottant qui se coule volontairement, les bateaux entrent par l'arrière, puis on ferme, des vannes évacuent l'eau, et le bateau part vers l'Europe.

Et voilà le résultat, après une journée en bateau !

C'est la saison du Carnaval, partout dans les Antilles. Les enfants des écoles participent aussi. Chaque classe illustre un pays de la Caraïbe, ici Cuba.

Derrière les enfants des écoles, arrive la reine de la maison de retraite !

Sur la banderolle on lit "Vive Vaval" ; Vaval est un personnage qui personnifie le Carnaval, et on le brûle à la fin.

Les amis repartent après une dernière soirée sur la plage au Marin. Au loin la marina est toute illuminée.

Balum est reparti vers le Nord. Les dauphins sont là, toujours à jouer devant l'étrave.

Je fais cette remontée avec Audélie.

Admirez le nouveau pavillon de Balum.

Audélie et Balum vont se photographier l'un l'autre, sur un bord, sur l'autre...

Toute la famille est là, Valérie, Olivier, et les 2 filles Emilie et Claire.

Nous arrivons à St Pierre ; Balum admire la Montagne pelée en pleine éruption (non, ce ne sont que des nuages...).

Nous allons voir la prison de Cyparis, le prisonnier seul survivant de l'éruption de 1902.

Vue de la baie de St Pierre : Beaucoup de grands voiliers de commerce sont au fond de la baie, coulés instantanément par l'éruption de 1902.

Claire a 7 ans, et j'aime beaucoup cette photo prise par sa maman !

Claire essaie de repousser cet arbre, sans succès.

Carnaval à St Pierre : c'est la journée des diablesses, tout le monde est en noir et blanc. Le camion électrique transporte une sono d'enfer et tout le monde suit.

Ici, à St Pierre, les costumes sont simples, mais il y a pas mal de travestis : 2 jours avant, c'était la journée des travestis !

On est repartis, on va  vers l'île de la Dominique...

Et on se photographie !

Ma position préférée pour admirer le large.

On arrive aux Saintes. Cette formation géologique est appelée le "Pain de Sucre" ; tiens, comme à Rio de Janeiro !

Un voilier-paquebot. Il y a aux Antilles beaucoup de paquebot type "La croisière s'amuse", mais il y en a pas mal aussi comme celui-ci.

Un pélican. Depuis 15 jours, je passe mon temps à observer les pélicans, dans les ports ou les mouillages où je suis passé. Les voir plonger de 20 ou 30 mètres de hauteur est toujours étonnant, on se demande à chaque fois si ils vont s'en sortir.

J'arrive à Antigua, au Nord de la Guadeloupe. Je suis dans ce port naturel, English Harbour. C'est ce qu'on appelle aux Antilles un "trou à cyclone", tellement il est abrité.

English Harbour, c'était un des repaires de Nelson, ce chien d'anglais !

Aujourd'hui, Antigua est un des hauts lieux du yachting. Il y a des bateaux extraordinaires partout. Celui-ci, c'est Schenandoah, un des bateaux de la Coupe de l'America des années 30.

Avez-vous vu les 2 esclaves en train de gratter les mâts en bois, suspendus à mi-hauteur ?

 

 

Voilà l'image de la France à Antigua (et pas que là d'ailleurs !).

Il y a aussi des petites épiceries de quartier, heureusement, et j'ai bien aimé celle-ci.

ça a de la gueule, des plaques minéralogiques comme ça !

Un paquebot à Antigua : on devine à gauche l'ancre du bateau, et 2 marins qui sont en train de la repeindre. J'aimerais savoir combien de centaines de kgs pèse cette ancre, celle de Balum pèse 7 kgs (elle est en alliage léger !).

Pour finir, une photo de l'annexe de Balum avec son nouveau coussin gonflable apporté de France par Claudine : j'avais perdu l'ancien, alors tout va bien, le voyage peut continuer !

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